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LA SALAMADRE, EMILIE ET NATHAN

Couverture du livre « LA SALAMADRE, EMILIE ET NATHAN » de Blanchon Philippe aux éditions La Termitiere
Résumé:

La Salamandre se veut être la chronique d'un couple, Emilie et Nathan.

C'est à travers la voix d'Emilie que cette chronique est rapportée, en ouverture, dans Emilie à Florence.

Il y eut un drame central, une crise que connut Nathan le mettant en péril ainsi que son couple. Emilie y fera... Voir plus

La Salamandre se veut être la chronique d'un couple, Emilie et Nathan.

C'est à travers la voix d'Emilie que cette chronique est rapportée, en ouverture, dans Emilie à Florence.

Il y eut un drame central, une crise que connut Nathan le mettant en péril ainsi que son couple. Emilie y fera allusion et Florence, témoin, en rendra compte à son tour. Les voix féminines ici sont très présentes et incarnent une renaissance que le sommeil, rendu possible, confirme.

Chronique d'une crise tout autant provoquée et subie par Nathan dont l'on cherchera racines dans l'enfance, enfance alors invoquée, après avoir été tue, d'après Emilie et Florence, durant de longues années.

Les vers, de Quentin, concernant l'enfance de Nathan, dans L'impasse mène au jardin, seront commentés et complétés par leurs traducteurs, Clarence, anglo-saxon et Andreï, russe. Relevant les permanences, les résonnances..., polémiquant souvent.

Après la voix d'Emilie pour ouvrir, celle de Florence pour poursuivre la chronique, avec Emilie, de Florence, comme la nuit s'en vient, réconciliatrice et résurrectionnelle.

Enfin, Clarence reviendra sur l'enfance de Nathan autant que sur Emilie, dans Le frêle esquif retrouve toujours le port, prolongeant son travail de commentateur des poèmes de Quentin, apportant quelques éléments nouveaux, derniers.



Chacune des quatre parties constituant le livre ont leur parti-pris prosodique. Les deux premières, en vers « blancs », se fondent librement dans l'alexandrin et la troisième dans l'octosyllabe. La première partie (Emilie) est composée de vingt et un poèmes construits en hémistiche de vingt et un vers. La troisième (Florence) est constituée de huit séquences de deux strophes de huit vers. La seconde (Quentin), outre sa diversité strophique, est commentée en vers « libres » (italiques). La dernière partie (Clarence) reprend et amplifie cette liberté.

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