L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
jean giono estimait que "les exégètes d'un grand écrivain ne sont que des puces sur un lion".
sans faire ici un ouvrage d'exégète, chantal le gall revendique le qualificatif de "puce" qui se nourrit de l'oeuvre. il s'agit d'un parcours initiatique, de l'enjeu du "je" de l'auteur par le jeu de l'écriture. si on imagine un caillou lancé faisant des ronds dans l'eau, allant s'élargissant, le plus petit serait le voyage intérieur de l'auteur, puis son voyage au paraïs, maison de giono oú il a presque tout écrit et oú chantal le gall a séjourné un an, et enfin son voyage dans l'oeuvre.
elle endosse avec jubilation son habit de puce pour raconter jour après jour ces petits riens de la vie qui font la chair autour de l'oeuvre et aussi pour parler de choses sérieuses mises à distance grâce à un humour que giono pratiquait avec un art consommé.
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