Grégoire Delacourt, auteur à succès avec son roman "La liste de mes envies", a accepté d'être reporter d'un jour à la foire du livre de Brive pour lecteurs.com et il nous fait part de ses auteurs et de ses livres préférés.
Le 15 septembre 2010, Arthur Dreyfuss, vêtu de son caleçon fétiche, regarde un épisode des Soprano quand on frappe à sa porte. Il ouvre. Scarlett Johansson. Il a vingt ans, il est garagiste. Elle a vingt-six ans, et quelque chose de cassé.Un troisième roman éblouissant. Grégoire Delacourt fait partie des plus brillants auteurs français contemporains. Femme actuelle.Ce roman est une oeuvre pleine de grâce et d'émotion, portée par les vers de Jean Follain qui reviennent comme un refrain ponctuer la chanson tendre amère de Delacourt. C'est aussi un livre sans fausse note, truffé d'effleurements sensibles. Une gouaille de poète, planquée dans un roman faussement simple. Karine Papillaud, Le Point.
Grégoire Delacourt, auteur à succès avec son roman "La liste de mes envies", a accepté d'être reporter d'un jour à la foire du livre de Brive pour lecteurs.com et il nous fait part de ses auteurs et de ses livres préférés.
La première chose qu’on regarde – Grégoire Delacourt.
Le livre le moins aimé de 2023 et de ma vie !
Pour son troisième livre que la médiathèque a retiré de ses rayons (et je comprends)
Arthus Dreyfus ouvre la porte à Scarlett Johansson…
Voilà vous avez le tableau. Cela pourrait s’apparenter à « coup de foudre à Notting Hill » et en moins glamour, mais l’histoire n’arrive même pas s’ouvrir sur ce thème.
Arthrur Dreyfus aimait les gros seins voilà le plus médiocre des incipit. Et le reste ne va pas ménager la gent féminine, il en est obsédé. Que je vous rassure, on est loin de « La vie sexuelle de Catherine M. »
Faut-il continuer !?
C’est plat, pas d’histoire d’amour à la Marguerite Duras ou Stefen Zweig comme j’aime lire, pas un récit romancé, pathétique en somme ! (Il faut le lire pour le croire)
Les personnages représentés sont celles et ceux tirés des personnages d’acteurs, d’artistes, aucune description véritable des individus.
Même l’écriture est déplaisante. Cela aurait pu sauver l’histoire, mais non : des parenthèses en vois-tu, en voilà, sans importance, mais vraiment sans importance (il faut le découvrir pour le croire) et des phrases en italiques extraites de Jean Follain qui ne donnent pas de plus valu dans le contexte d’une pseudo histoire dont on ne sait si c’est de l’humour choisi, mais alors on ne rit pas du tout, ou si c’est un récit romancé dont on lit des lignes d’un livre sans pages, sans arrangement. A croire que l’histoire a été construite autour des extraits de Jean Follain.
Je n’ai jamais lu son premier et deuxième roman. Un grand regret, car à force de lire des premiers romans, je m’aperçois qu’ils sont souvent comme des bébés et l’on y met tout son cœur. Car « On ne voyait que le bonheur » et « Une nuit particulière » ne m’ont pas séduit outre mesure.
La première chose qu’on regarde sera la couverture qui en dit long sur une histoire d’amour -désenchanté ; la dernière chose qu’on regarde c’est JC LATTES qui l’a produit.
Un roman frais qui se lit très vite et qui aborde le thème du bonheur et de son lien avec la beauté.
La beauté suffit-elle à rendre quelqu'un heureux?
C'est la question qui se pose à Arthur quand, un beau matin, frappe à sa porte la magnifique Scarlett Johansson. Il a pourtant toute sa tête et sait qu'il est hautement improbable qu'un canon planétaire frappe ainsi à sa porte, lui, garagiste des plus lambda habitant le "trou dou cou" de la France.
Alors si ce n'est pas elle, qui est-ce? Et pourquoi venir le chercher lui?
Un roman d'amour décalé qui replace les valeurs du bon côté.
Avec son livre « la liste de mes envies » Grégoire Delacourt interrogeait déjà sur ce qui faisait le bonheur de quelqu’un mais sous l’aspect financier : l’argent fait-il le bonheur ?
A nouveau, ici, la même question est posée mais sur l’aspect physique : être beau rend t-il plus heureux ?
Il interroge sur la première chose qu’on regarde chez quelqu’un, son physique, et sur ce qui ne se voit pas tout de suite : la richesse intérieure.
Une jolie histoire attendrissante avec un personnage féminin attachant qui aimerait simplement être aimé pour ce qu’il est.
« Une histoire d’amour qui commençait avec le malentendu d’un corps magnifique, aux yeux de tous presque parfait ; un corps qui cachait quelqu’un de plus beau encore, mais qu’on ne voyait pas. »
St Exupéry le disait déjà il y a longtemps « l’essentiel est invisible pour les yeux ».
Quelques mots sur l’auteur :
Né en 1960 à Valenciennes, Grégoire DELACOURT est publicitaire. On lui doit notamment de fameuses campagnes pour Cœur de lion, EDF, Lutti, Apple ou encore Sephora.
« La première chose qu’on regarde » est son troisième roman. [Source Éditeur]
Maintenant, place au livre !
L’histoire de ce livre se déroule à long dans la somme.
Le style du livre, c’est un dialogue permanent entre deux personnes, leurs pensées, leurs souvenirs, sans tirets et avec beaucoup de références.
Celles-ci sont d’ordre littéraire, d’ordre géographique, d’ordre artistique, etc.
J’avoue que c’est sympa au niveau culture générale, mais ça n’apporte rien du tout à l’histoire du bouquin !
Dès le début on sait que la fin de l’histoire est tragique, l’auteur l’annonce.
Donc nous avons un jeune garagiste de vingt ans, détendu un dimanche soir chez lui, en boxeur Schtroumpf et marcel blanc, devant la télévision.
Et là, Scarlett Johansson se pointe chez lui ! « C’est l’hallu ! »
Et puis Scarlett devient Jeanine, mal dans sa peau, marre de ressembler à l’actrice américaine, etc.
Tous deux que la vie a abîmés, ils vont s’apprendre, s’apprivoiser et vivre à deux durant une semaine. Leur apprentissage va se faire petit à petit.
Pas de suspense, pas de rythme. Je trouve l’idée de base de ce livre vraiment géniale, mais, oui il y a un mais ! Je me suis ennuyé !
Il est bien et en même temps non. Je suis divisé ! C’est bizarre d’avoir cette sensation ! Il est riche et vide !
Bref, je suis déçu !
Déception.
Il semblerait que la plume de Grégoire Delacourt ne soit pas celle que j'apprécie le plus. Déjà déçue par La liste de mes envies, j'ai retenté avec La première chose qu'on regarde, espérant y trouvé quelque chose différent.
L'histoire n'est que peu crédible. Une jeune femme femme, sosie de Scarlett, qui vient frapper chez un garagiste qui lui a tapé dans l'oeil. Coup de foudre immédiat, sur fond d'une pseudo intrigue à base de pseudo questionnement sur la réelle personnalité du sosie.
Désolé, avec moi, ça ne prend pas.
Je vais donc laissé cet auteur de côté et me consacrer à d'autres lectures.
pas mon préféré mais bien quand meme
Vite lu, mais vite oublié !
J'ai trouvé ce livre très moyen car l'histoire semble un peu "tirée par les cheveux"...
Une star du cinéma vient sonner à la porte d'un inconnu qui habite une petite ville complètement perdue, c'est certes original, mais peu crédible !
Je ne renie pas cette lecture, mais il ne faut pas s'attendre à une histoire passionnante.
C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai retrouvé Grégoire Delacourt, pour une nouvelle lecture douce et mélodieuse, après mon coup de coeur de Mars pour La Liste de Mes Envies.
Grégoire Delacourt aime la simplicité, la beauté des petits instants, les élans du coeur tapis dans une boîte de Ricorée sacrifiée. Et Dieu, ce que ça fait du bien, un peu de douceur dans ce monde de brutes!
C'était une lecture fluide et agréable, salement romantique et très mélancolique.
L'histoire de deux êtres un peu bosselés par quelques accidents de la route, qui en six petits jours, tenteront de se sauver l'un l'autre.
Un petit mécano du Nord, qui aime traîner en caleçon Schtroumphs devant la télé, avec des rêves pas plus gros qu'une belle paire de seins pour partager ses nuits, une concession Audi à lui, peut-être aussi. Et un sosie flétri, perdue dans l'ombre d'une autre, amoureuse d'un réparateur de vélo occasionnel, inconnu, distillateur de sourires. Un amour naissant entre un Ryan Gosling en mieux, et une Scarlett Johansson picarde.
Des personnages un brin loufoque, un décor de bout de la rue, tout paraît à la fois familier et singulier, et c'est là tout le charme de ce livre. Alors oui, c'est probablement mièvre, et un peu facile de coller deux sosies de belles gueules célèbres dans les bras l'un de l'autre pour en faire un roman, mais je ne suis pas déçue. Même si ce n'était pas un coup de coeur, c'était une belle lecture.
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