L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Les textes composant ce recueil tournent autour d'un même centre : le corps. La poésie, la peinture et le fondement du langage saisit, à partir de l'expérience de Henri Michaux, le tracé pictural confronté à celui du langage poétique. Art, culture, subversion porte le regard du lecteur en direction du geste. Le peintre, la toile et le corps esquisse enfin une sorte d'«histoire» venant lier et compléter les essais précédents. Chacun d'eux représente le chapitre indépendant d'une recherche unique permettant de s'enfoncer philosophiquement vers le secret de la genèse d'une oeuvre peinte, toujours liée au secret du corps. Entreprise passionnante puisque Max Loreau nous convie non pas à concevoir la peinture au moyen du simple spectacle des oeuvres, mais à travers les opérations les plus inexprimables de l'artiste, celui-ci ne cesse de réengendrer en sous-main les conditions ambiguës de l'apparence, c'est-à-dire l'éclatement même du visible.
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