L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
On retrouve dans La Patience des rochers les personnages familiers de Jean-Pierre H.
Tétart, chroniqueur sentimental d'existences peu spectaculaires mais ô combien vibrantes, celles des naufragés en mal de tendresse. Ici, dans une île amarrée au large de Granville, il y a Serge, Zoé, Florence, Gus, un archer zen et un curé boxeur suivi par un chien sans nom. Personnages trempés au deuil ou à l'échec, à la pudeur et aux accrocs de la mémoire, ils sont ensemble autour de plusieurs verres, à tanguer pour mieux tenir.
Coincés dans l'île, à détester la mer, ils n'ont pas le choix, ils se vivent entre eux, se regardent faire et sombrer, jouir et s'enivrer. Mais quelles que soient les rancoeurs, les jalousies, c'est toujours la tendresse qui remporte la mise.
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