"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
A.J. Fikry a l'un des plus beaux métiers du monde : il est libraire sur une petite île du Massachusetts. Mais il traverse une mauvaise passe. Il a perdu sa femme, son commerce enregistre ses pires résultats depuis sa création et il vient de se faire dérober une édition originale et précieuse. A.J. s'isole au milieu des livres jusqu'au soir où il découvre un couffin devant sa librairie. Un bébé que sa mère a abandonné là avec un mot : Je tiens à ce qu'elle grandisse entourée de livres et de gens pour lesquels la lecture compte. Réticent au premier abord face à l'ampleur de cette mission, le libraire tombe rapidement sous le charme du nourrisson et entrevoit avec lui la possibilité d'un nouveau bonheur.
Et si la vie valait bien qu'on lui accorde une seconde chance ?
Un optimisme rafraîchissant pour les amoureux des livres !
The Washington Post @ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE
J'ai laissé ce livre de côté un bon moment, et je l'ai lu il y a peu de temps. Je l'ai trouvé charmant plein d'émotions et un petit côté feel good. Des personnages humains et bien campés. Un moment de lecture agréable et intelligible.
J’ai beaucoup apprécié ce roman qui délivre une histoire assez touchante d’un libraire s’étant fermé sur lui-même suite à la mort de sa femme et qui va, contre toute attente, endosser le rôle de père. En effet, quelle ne fut pas sa surprise de découvrir, un soir, un couffin déposé devant sa librairie accompagné d’un petit mot : « Je tiens à ce qu’elle grandisse entourée de livres et de gens pour lesquels la lecture compte. »
Ce récit est truffé de références littéraires, il sent bon l’odeur des livres et par conséquent, il plaira aux amoureux de lecture. Une ambiance surannée se dégage du texte. Une tendresse flotte à travers les mots. J’ai eu un vrai plaisir à enchaîner les chapitres.
A.J. Fikry est un libraire assez bourru, franchement pas sociable malgré son métier qui mériterait qu’il le soit. Mais l’a-t-il toujours été ? Assez rapidement, nous apprenons qu’il a perdu sa femme. Et désormais, il a tendance à noyer son chagrin dans l’alcool. Il vivote dans une sorte de cercle vicieux et triste. Mais la vie va finir par lui réserver quelques surprises.
Il y a des rencontres, il y a la vie qui repointe le bout de son nez à travers une petite fille abandonnée devant sa porte, il y a le vol mystère d’un livre ancien et rare. Tous ces évènements vont s’entremêler et nous offrir rebondissements, joie, résilience et secondes chances. Mais pas que.
Le dénouement n’est pas si évident et l’on finit par s’attacher à ce libraire qui va peu à peu renaître et s’ouvrir de nouveau au monde.
Un roman qui se dévore et qui fait passer un vrai bon moment !
A.J. Fikry, métis indien de trente neuf ans et veuf depuis un an, est libraire à Alice Island, dans le Massachusetts.
Amélia Loman, la petite trentaine, travaille pour la maison d’Éditions Knightley Press et se rend sur l’île pour une visite professionnelle, en remplacement de son collègue récemment décédé. Le premier contact sera plutôt pénible …
Le destin “arrangé” mettra sur le chemin du libraire bougon (et un tantinet alcoolique) une adorable petite fille (métisse elle aussi) âgée de deux ans et prénommée Maya. La vie monotone de A.J. Fikry va changer du jour au lendemain …
Je vous laisse le soin de découvrir par vous-mêmes la suite de cette jolie petite histoire sans prétention, où l’on retrouve avec beaucoup d’amusement l’ambiance du “monde des libraires, de l’édition et des blogueurs”. Gabrielle Zevin nous régale d’anecdotes littéraires qui nous font sourire tant elles sont réalistes. Un très agréable moment de lecture qui fait du bien.
Mes lectures se suivent et ne se ressemblent pas. Pourtant, je continue ma balade américaine. Après avoir terminé ma randonnée le long du Pacific Crest Trail, je me suis rendue sur Alice Island, petite île du Massachussetts. C’est là que Gabrielle Zevin convie ses lecteurs et plus précisément dans une librairie…"La librairie de l’île". Encore une fois, Léa, merci pour ce conseil de lecture… c’est une confiserie dont le goût me restera longtemps en bouche.
Une confiserie, c’est bien ça, tels ces bonbons que l’on suce et qui changent régulièrement de couleur, j’ai adoré y trouver plusieurs histoires en une. Il y a d’abord celle d’A. J. Fikry, le libraire. Il a perdu sa femme, son chiffre d’affaires s’effondre, il trouve un bébé abandonné dans sa librairie et on lui vole un livre ancien de grande valeur. Il y a celle de Lambiase. Il est policier et va devoir mener l’enquête sur le vol. Puis arrive Amelia Loman – Amy pour les intimes –, représentante de la maison d’éditions Knigtley Press, venue parler des livres de rentrée… et tous les autres…
Ce livre est un petit bijou d’humanité malgré le côté bougon du libraire. L’auteure parle magnifiquement d’amour, sans tomber dans le vase de roses : l’amour pour une femme qui naît petit à petit et celui qui pousse à élever un enfant inconnu, sans oublier l’amour de l’île. Elle dit aussi, avec un grand talent, l’amour des livres et des mots qui les composent. Elle y ajoute un zeste de policier, sans qu’une goutte de sang ne coule.
C’est limpide, fluide, simple, mais sans mièvrerie. Roman à la gloire de la littérature, on ressort de sa lecture dotés d’une liste de références, toutes aussi intéressantes les unes que les autres. Les petits billets d’humeur insérés entre les chapitres sont en effet drôles et perspicaces.
Malgré les difficultés vécues par chacun des personnages, il ressort de l’ouvrage un optimisme vivifiant qui fait de cette lecture un enchantement de chaque instant.
Comme quoi, aux écrits réussis, la valeur n’attend pas toujours un nombre conséquent de pages.
https://memo-emoi.fr
J'en ai fini la lecture hier soir. Je ne sais que penser... J'ai aimé mais sans plus... Bon d'accord je l'ai dévoré, les personnages me manquent, j'ai même envie de pleurer rien que de penser à la fin de l'histoire, je crois d'ailleurs que c'est le final qui me laisse perplexe...
Une lecture "gentillette", facile et sans prise de tête. Bienvenue entre deux lectures plus "dures" mais qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.
Une histoire sympathique pour l'été, mais peut-être un peu trop facile. C'est une lecture légère et vraiment pas prise de tête.
Alors qu'A.J. Fikry est dans une mauvaise passe, il a perdu sa femme, sa librairie n'enregistre pas de bons résultats et il s'est fait dérober une édition originale, une surprise l'attend dans sa librairie. Un soir, il y découvre un couffin dans lequel un bébé y repose, une seule lettre l'accompagne lui apprenant qu'il est abandonné. Pour A.J. Fikry, lui qui semble si réticent à propos de tout, son destin est alors chamboulé et il finit par adopter l'enfant. Lui qui exerce le plus beau métier du monde, libraire sur une île, il va alors allier les livres dans chaque étape de sa vie et finalement une seconde chance d'être heureux semble bien lui être accordé...
Ce livre d'abord paru sous le titre L'Histoire épatante de M. Fikry et autres trésors, a attisé ma curiosité lors de sa parution en poche. Comment résister à La librairie de l'île ? À sa couverture qui sent bon l'air marin et qui donne de suite envie de s'y plonger ? On n'y résiste pas tout simplement, et on découvre, comme moi, Gabrielle Zevin.
Nous faisons donc la rencontre d'A.J. Fikry, de premier abord l'homme semble taciturne et un peu bourru, une façon pour lui de se protéger finalement. Ce qu'on ressent de suite, c'est sa véritable passion pour les livres, même s'il a des goûts bien précis et n'est pas vraiment du genre à vouloir en tenter d'autres, A.J. Fikry est un passionné qui défend ses idées et qui n'hésite pas à partager cette passion. Avec l'arrivée de ce bébé, son quotidien est bousculé donc, mais en bien, tellement en bien qu'on suit alors sa nouvelle vie avec beaucoup de plaisir et en souriant.
La Librairie de l'île est une histoire qui fait du bien. Une histoire qui respire la passion, l'amour et la vie. Pendant près de trois cents pages, nous sommes donc sur cette petite île en compagnie d'A.J. Fikry, mais aussi Maya et Amélia. On partage de bons moments, on a bien envie parfois de pousser A.J. Fikry à se livrer un peu plus rapidement, mais tout vient à point pour notre plus grand plaisir. Le lien qui lie finalement A.J. et Maya (l'enfant abandonné dans sa librairie) est fort, puissant même et nous touche plus d'une fois.
Ce que j'ai particulièrement aimé dans ce roman, c'est la mise en avant des livres. La passion qu'A.J. Fikry transmet à Maya et les références à de nombreuses œuvres littéraires qui sont particulièrement bien amenées. Beaucoup de romans ayant pour fil rouge la passion des livres m'ont déçu, mais ici, j'ai trouvé cela parfaitement bien exploité. C'est le fil rouge de toute cette histoire et on se plaît à se reconnaître dans certaines situations.
Gabrielle Zevin à travers La Librairie de l'île offre une histoire qui devrait plaire aux amoureux des livres. Un livre qui fait sourire, qui touche, nous fait même rire parfois avec les touches d'humour qui le ponctuent. Son écriture est douce, posée et amène chaque bouleversement dans la vie d'A.J. Fikry avec beaucoup de justesse. Alors, certes, il ne faut pas s'attendre à un suspens qui tient en haleine, à des rebondissements auxquels on ne s'attendait pas, non loin de là, mais de temps en temps un livre où tout semble linéaire et venir naturellement ça fait du bien aussi.
La Librairie de l'île est ce genre de livre idéal à lire en vacances, à lire pour se détendre et pour sourire. Gabrielle Zevin aura parfaitement sa place dans votre valise et je ne saurais que de vous conseiller de rencontrer rapidement A.J. Fikry à travers ces pages, à défaut malheureusement de pouvoir le croiser un jour...
La librairie de l'île de Gabrielle Zevin est disponible aux Éditions Pocket.
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