A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Sur les rivages siciliens de Vigàta, la vérité, comme l'eau, prend la forme qu'on lui donne...
La mort d'un politicien estimé semble parfaitement naturelle bien que déshonorante : arrêt cardiaque en galante compagnie dans sa voiture au bord d'un terrain vague. Montalbano n'a que 48 heures pour éclaircir certains détails. Comment la grosse BMW a-t-elle pu emprunter un chemin impraticable ? Que fait un bijou inestimable parmi les détritus de la décharge ? Quels étaient les goûts sexuels de la victime ?
Le commissaire enquête à sa manière d'anarchiste rêveur et bon vivant. Derrière la beauté de son île natale, l'imbécillité, la férocité et, bientôt, l'horreur...
Un pur régal. Michel Abescat - Le Monde @ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE Prix Mystère de la critique - 1999
Une petite récréation ces aventures policière de Montalbano !
Première enquête de Montalbano que je lis, j'ai aimé le personnage et sa façon d'arriver à la vérité.
En lisant le prologue, j'ai aimé découvrir la langue de l'auteur et la façon de la traduire. J'ai par la suite été moins étonnée de certaines tournures de phrases.
J'ai aimé l'humour de l’enquêteur, sa relation si particulière à son île et à ses habitants.
Une belle lecture comme je les aime.
La vérité c’est comme l’eau, elle n’a pas de forme, elle a celle que l’on lui donne… C’est le sens du titre un peu énigmatique du polar « pur sucre » d’Andrea Camilleri. Il s’agit ici polar dans la plus pure tradition du polar, un polar « poutres apparentes » comme dirait un pote à moi. Le commissaire Montalbano, un sicilien opiniâtre et dupe de rien, enquête sur la mort apparemment naturelle d’un homme politique respectable retrouvé le pantalon baissé dans un lieu fort peu recommandable. Tous les ingrédients sont présents : les maitresses sulfureuses, les proxénètes hauts en couleur, les politiciens manipulateurs, les supérieurs hiérarchiques pressés de clore un dossier sans faire de vague, rien ne manque au polar de Camilleri. Et grâce à un style fluide et bien rythmé, on suit l’enquête sans déplaisir et même parfois avec un net intérêt, alors que d’emblée, vu le genre ce polar très « old school », en ce qui me concerne, ce n’était pas gagné ! Mais Montalbano est un flic fort attachant, l’intrigue se suit facilement et son épilogue, à tiroir, est efficace à défaut d’être totalement inattendue. Et puis il y a la Sicile, comme personnage central, ce petit bout d’Italie si particulier et Camilleri, en pur sicilien, nous la dépeint sans fard, de façon très réaliste et surement très pertinente. En résume, un bon petit polar à l’ancienne qui sent l’huile d’olive, l’air marin… et le souffre.
Premier épisode de la série du Commissaire Montalbano. La particularité de l'auteur est d'écrire en sicilien, et la traduction essaie de respecter l'esprit de cette écriture. Le meilleur point de cette série, c'est la vie et la relation des personnages, ils ont tous un rôle important !
j'ai hâte de le lire
Un peu décousu tout ça ... pas de suspens. Le livre se lit vite, mais on n'est pas pour autant emporté par le texte. Déçue !
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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