Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Pourquoi un livre sur la forclusion du Nom-du-Père, par laquelle Jacques Lacan introduit la psychose dans le discours analytique ?
La question peut être posée, quand l'ensemble de l'Orientation lacanienne a entrepris une approche «non ségrégative» de la psychose, selon l'expression de Jacques-Alain Miller. Les travaux cliniques récemment publiés, notamment La Psychose ordinaire, témoignent en effet du renouvellement par la clinique borroméenne qu'a opéré Jacques Lacan sur celle qu'il a ouverte dans la «Question préliminaire à tout traitement possible de la psychose».
Cette dernière est-elle pour autant frappée de caducité ? Le soutenir serait aussi injustifiable que de dire que la seconde topique freudienne invalide la première : c'est ce qui conduit certains, prétendus orthodoxes freudiens à ne plus parler d'inconscient !
Les lecteurs ne pourront que se féliciter de trouver dans cet ouvrage précis, explicite, vivant et rigoureux une véritable transmission du premier enseignement de Lacan sur les psychoses, et de certaines de ses conséquences sur la conduite des cures. Véritable transmission, parce que, comme l'attendait Lacan de ses lecteurs et élèves, Jean-Claude Maleval y a assurément «mis du sien».
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