L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Une belle créature, mi humaine mi fée, qui renonce par amour à son statut d'immortelle ; un prince amoureux fou de cette créature, qui laisse le royaume de son père aux mains d'un despote sanguinaire ; un mage démoniaque qui a lancé contre eux une terrible malédiction. Ce trio est au centre de La Femme serpent, fable théâtrale tragicomique que Carlo Gozzi offre avec succès au public de Venise en octobre 1762, peu après Turandot. Transformations, apparitions, disparitions, déchaînement de tonnerre et d'éclairs, palais merveilleux succédant à un désert rocailleux, grottes peuplées de monstres hideux. À partir de sources diverses, françaises et italiennes, Gozzi déploie toute sa science de la scène et de l'écriture, et mêle avec brio le merveilleux, le tragique, le pathétique et le comique hérités de la commedia dell'arte. Les amants réussiront-ils à surmonter les épreuves imposées par le mage ? Le prince sauvera-t-il son royaume ? La fée deviendra-t-elle humaine ?
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