L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Voici un « journal de confinement » qui est le contraire d'un journal de confinement : il est cheminement d'un poème, en dialogue avec La Divine Comédie de Dante, produisant des échos parmi les personnes avec lesquelles l'auteur correspond et partage son chant le long de la pandémie. On y croise Michel Houellebecq, Nancy Houston et Bruno Latour. Il s'agit bien d'une quête de la parole, en un temps où tout porte à l'étouffer, et d'une tentative de communion autour de l'écriture poétique. Grâce aux échanges d'e-mails avec un public qui n'est pas celui, habituel, des amateurs de poésie, ces poèmes ont dû apprendre à parler à de nouveaux lecteurs, souvent peu au fait de la création poétique contemporaine. D'où un retour à des formes traditionnelles (l'alexandrin, le sonnet), aisément reconnaissables par le plus grand nombre. Il s'en est suivi une forme de « révolution poétique ». Pour mieux dire un monde qui s'en va, et peut-être se préparer à un monde qui n'est pas encore arrivé.
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