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Un homme se rend comme à l'accoutumée chez sa maîtresse. Il mène une existence parfaitement réglée, se partageant entre cette liaison secrète, son cabinet de dentiste, sa femme, ses deux enfants et le dîner hebdomadaire avec son beau-père.
Quel vertige le saisit-il un jour lorsqu'il sonne à la porte de sa maîtresse ? Quel craquement en lui ébranle-t-il tout l'édifice de sa vie ? Subitement, la mort et le néant ont percé sa chair. Désormais, qu'il soit avec son amante, qu'il regarde le sourire de sa femme ou qu'il soit penché sur la bouche d'une de ses patientes, il lui faudra vivre avec cette brèche au centre de tout être.
« Si cela doit exister, ce trou vide et nul, cette absence de ma chair et de mon corps, si la bouche doit exister, (...) je préfère cela à la fausse sécurité de mon corps mort... » Écrivain espagnol né à La Havane en 1959, José Carlos Somoza, psychiatre, a cessé d'exercer pour se consacrer à la littérature et vit actuellement à Madrid. Son premier roman traduit en français, La caverne des idées (Actes Sud, 2002 ; prix Gold Dagger 2002), a été salué par la critique.
Traduit de l'espagnol (Espagne) par Marianne Millon
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