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Jacques Villon ; né Gaston Duchamp (1875-1963)

Couverture du livre « Jacques Villon ; né Gaston Duchamp (1875-1963) » de Germain Viatte aux éditions Expressions Contemporaines
Résumé:

Bien qu'il ait été reconnu, à la fin de sa vie, comme l'un des pères du cubisme et honoré comme l'un des grands artistes français du xxe siècle, Jacques Villon est aujourd'hui injustement négligé. Exposé alors partout à travers le monde, présent dans les plus grands musées et les plus célèbres... Voir plus

Bien qu'il ait été reconnu, à la fin de sa vie, comme l'un des pères du cubisme et honoré comme l'un des grands artistes français du xxe siècle, Jacques Villon est aujourd'hui injustement négligé. Exposé alors partout à travers le monde, présent dans les plus grands musées et les plus célèbres collections américaines, son oeuvre, à l'exception de quelques pièces incontournables, est maintenant trop oublié ou incompris. La seule monographie importante qui lui ait été consacrée fut publiée dans les Cahiers d'Art en 1957.
En rassemblant quelque 156 reproductions d'oeuvre en couleurs et 66 illustrations en noir et blanc, avec une iconographie familiale et personnelle abondante et souvent inédite, due à des photographes célèbres comme Brassaï ou Man Ray, cet ouvrage renouvelle l'approche de Jacques Villon. On découvrira l'aîné d'une fratrie exceptionnelle, avec ses frères, Raymond Duchamp-Villon et Marcel Duchamp, sa soeur Suzanne Duchamp, qui épousa le peintre dadaïste Jean Crotti. Villon fut une personnalité secrète et rigoureuse, ouverte à la modernité, conceptuelle et intuitive. Son oeuvre, longtemps abstrait, fut pourtant toujours porté par l'observation du réel.
Dans son essai, Germain Viatte relie diverses facettes de la personnalité de Villon : sa double expérience de peintre et de graveur ; les sources philosophiques, scientifiques et esthétiques de son inspiration ; après la période de la Section d'or, la solitude de l'atelier de Puteaux, lieu qui fut le creuset d'une génération de l'avant-garde. Il rappelle enfin les soutiens dont Villon bénéficia et l'épanouissement ultime de sa peinture.

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