L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Au XVIe s., afin de prouver que le français, alors considéré comme « vulgaire », pouvait être aussi langue de savoir, Jacques Amyot, évêque et conseiller royal, traduisit la majeure partie des oeuvres de Plutarque. Cette entreprise, couronnée d'un succès éclatant, fit de lui un des « pères » de la traduction, car elle initia le débat entre les deux courants majeurs de la traduction : celui des « Belles Infidèles » où le traducteur embellit le texte original, et celui des traductions littérales où la fidélité au texte prime sur le souci d'adaptation et de « belle littérature ».
Dans cet ouvrage, Antoine Berman ne livre pas tant une étude historique sur Amyot qu'une réflexion profonde sur les rapports entre les traducteurs et l'acte de traduire. Naviguant entre le XVIe et le XXe s, il montre comment la traduction est devenue un acte culturellement controversé, dénotant parfois la peur de l'étranger, mais aussi quels mécanismes et questionnements ont accompagné dans leur tâche les traducteurs de toute époque.
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