Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Une jeune femme s'éveille après vingt-quatre heures passées dans le coma et se lance à la recherche d'un homme qui semble ne pas exister.
Un meurtrier sans merci décide que chacun doit payer pour ses fautes et applique sa propre justice. Des meurtres commis à une journée d'intervalle dans des circonstances identiques tourmentent le responsable de l'enquête, le sergent-détective Victor Lessard, de la police de la Ville de Montréal.
Rétrogradé au SPVM, Victor Lessard met un point d’honneur à enquêter sur toutes les affaires de son secteur de Montréal. Ainsi est-il appelé à faire la lumière sur un banal accident de voiture avec délit de fuite ainsi que deux meurtres commis de sang-froid.
La première victime, Simone Fortin, est restée quelques heures dans le coma après avoir été renversée par une voiture. A son réveil, elle quitte l’hôpital contre l’avis du médecin afin de retrouver Miles, un homme qu’elle a croisé lorsqu’elle était inconsciente. Outre le fait qu’il a fait battre un cœur qu’elle croyait endormi pour toujours, il semblait connaître le lourd secret qui a bouleversé sa vie.
Etrange polar où l’on rencontre pour la première fois le héros récurrent de Martin Michaud, le sergent-détective Victor Lessard. Un flic empathique et humain malgré de graves problèmes familiaux et conjugaux. Seul son travail le maintient en vie et l’empêche de basculer.
Etrange polar, car si l’enquête sur les meurtres reste classique, avec un tueur insaisissable, des interrogations quant à ses motivations et un suspense qui tient la route, l’histoire de Simone s’égare du côté fantastique et déséquilibre l’ensemble. Une étrange affaire où les comateux communiqueraient entre eux dans un monde parallèle…
La sauce ne prend pas et on peine à croire à ces élucubrations.
Cela dit, l’action se déroulant au Québec, on a le droit à une belle promenade dans les rues de Montréal et à quelques expressions québécoises dépaysantes. Mais cela ne suffit pas à pallier le manque de cohérence de l’ensemble.
Une rencontre un peu ratée avec ce pourtant célèbre auteur québécois. Dommage.
Je viens de terminer ma lecture "Il ne faut pas parler dans l'ascenseur" de Martin Michaud Ce n'était pas ma première rencontre avec cet auteur, mais une chose est sûre, ce n'est pas non plus la dernière ! Beaucoup de plaisir
Un polar écrit par un cousin canadien qui respecte les canons du genre. Un tueur sévit dans la région de Québec et il semble qu'une série soit en cours, à laquelle Victor Lessard est chargé de mettre un terme, pressé par le timing imposé par un psychopathe dont le mobile fait se perdre en conjectures son équipe.
Victor Lessard est un policier aux antécédents familiaux chargés, avec des problèmes de couple, de relations avec son fils. Après une plongée dans l'alcool, il est en phase de sevrage et essaye de retrouver la garde des ses enfants, dans la bonne lignée des flics de romans.
L'écriture est relativement atypique, avec une narration omnisciente et une à la première personne, la voix n'étant alors pas celle du policier mais celle d'un autre personnage, Simone Fortin, qui, à la suite d'un accident de la circulation, vit une aventure parallèle que je qualifierais d'onirique pour ne pas en dévoiler plus.
Martin Michaud nous gratifie de mots et expressions typiques, sans en surcharger pour autant son texte ni déstabiliser le lecteur français, donnant au récit une sympathique couleur régionale.
Au final un polar agréable et efficace avec une intrigue assez classique de tueur vengeur, un flic perturbé qui n'attire pas l'empathie sans être totalement antipathique, l'ensemble baignant dans une atmosphère étrange provoquée par l'histoire peu banale que vit Simone Fortin.
Ce premier opus d'une série mettant en scène Victor Lessard m'a donné envie de découvrir une suite qui, d'après l'auteur, s'enrichit fortement en québécismes, ce qui ne sera certainement pas pour me déplaire.
Tabarnak qu'il était bien ce p'tit livre.
Du suspense, un personnage Lessard attachant comme tout.
Et dire qu'il y a encore d'autres des histoires avec lui.
Qu'cà a d'l'allure.
vive le Québec ! Vive Martin Michaud !
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