L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Deux années durant, Virginie Nguyen Hoang s'est rendue à Gaza. Sans chasser les icônes, son livre " Gaza, the aftermath" nous livre un travail documentaire de longue haleine sur une population désarmée qui tente de vivre malgré le conflit. Comme une forme de résistance, l'espoir est présent dans lesregards. Au fil des pages se dessine un quotidien difficile, il est aussi rempli de douceur et d'humanité. L'auteure a fait le choix de saisir de façon salutaire, parfois poétique, l'enfermement comme synonyme de courage et de liberté. Ici les enfants de la guerre sont fiers, et les sourires nous font oublier le blocus israélien et la domination du Hamas. Et même si Gaza est une prison à ciel ouvert, et même si la main de l'homme a rendu son visage aveugle, certaines photographies évoquent une paix divine.
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