Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Leibniz écrivait à Malebranche : « Les mathématiciens ont autant besoin d'être philosophes que les philosophes d'être mathématiciens. » Il fallait sans doute être Jean Beaufret pour répondre dans sa totalité à cette recommandation de Leibniz. Car, s'il était convaincu que le philosophe a tout à gagner à s'ouvrir à l'esprit des mathématiques, riche d'idées philosophiques, il était pleinement conscient de ce qu'un mathématicien qui n'est que mathématicien risque de perdre, lorsqu'il se refuse à découvrir l'implantation philosophique de son propre savoir.Les trois conférences publiées ici ont été prononcées à l'École normale supérieure de Paris en 1979, 1980 et 1981, dans le cadre du Séminaire de philosophie et mathématiques.Jean Beaufret (1907-1982). Professeur de philosophie à l'École normale supérieure et en classe préparatoire, il a formé et profondément marqué plusieurs générations d'étudiants.
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