Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
« On habite ce que l'on peut : la faïence, la baignoire, le hlm, le trottoir, on construit une cabane. Du début à la fin on utilise l'amoure comme survie collective ».
Fiévreuse plébéienne est un texte qui interroge la façon d'habiter son corps, le monde, ses désirs. Ça parle d'amoure, de précarité, de joie punk, de sexualité. Ça emmêle le corps au politique, ça prône l'expérimentation et la satire, ça précise une volonté forte de faire la révolution. Fiévreuse Plébéienne révèle ce que Élodie Petit du collectif RERQ (au côté de Wendy Delorme et des autrices de l'Adresse aux jeunes poétesses) nomme la « langue bâtarde » : une littérature prolétaire, proche du réel, expérientielle, menaçante et gouine.
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