"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Mai 1945, Erich Altmann a quarante-et-un ans. Il a survécu .Survécu à trente-trois mois dans l'enfer concentrationnaire nazi. Il y eut d'abord l'incompréhension, l'incertitude, puis l'anxiété, la peur, jusqu'à la terreur. L'horreur s'est ensuite installée avec son cortège de douleurs et d'afflictions : la faim, la maladie, l'harassement, la perte d'humanité, la mort omniprésente. L'inimaginable, l'indicible. Reste, irrépressible, cette farouche volonté de vivre pour ne pas partir en fumée et pouvoir témoigner aux yeux du monde « hors des camps ». C'est cette force qui a permis à Erich Altmann de survivre à Auschwitz-Birkenau, Buchenwald, Oranienburg et à deux « marches de la mort ».
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