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« Ce fut tout à coup comme un voile qui se déchire : j'avais compris, j'avais saisi ce que pouvait être la peinture » : tels sont les mots de Claude Monet évoquant au soir de sa vie sa découverte à 16 ans, grâce à Eugène Boudin, de la peinture en plein air.
Alors que dans les années 1860 le jury du Salon officiel n'a d'yeux que pour l'art académique, Boudin s'engage dans une autre voie. Observateur attentif des phénomènes atmosphériques, il cherche sans relâche à rendre compte de l'immensité des ciels en bord de mer et à traduire les impressions fugitives du paysage - ce qui en fait sans conteste le précurseur de l'impressionnisme. Installé de longues heures sur la plage ou le port, par tous les temps, en Normandie comme en Bretagne, le peintre restitue sur la toile le passage d'un nuage, le ciel changeant sous l'effet du vent et de la marée, l'évanescence de la lumière. De « prodigieuses magies de l'air et de l'eau » écrivait Charles Baudelaire.
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