Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
La philosophie, si elle ne veut pas prodiguer des leçons de conduite ou mettre des fleurs sur les chaînes de la servitude humaine, doit d'abord viser la vérité et donc penser la vie.
Penser ce qui est et n'est pas, c'est là que se tient le vivant. Là où l'indispensable logique formelle trace des cadres, effectue ses opérations dans un monde d'où le temps a été mis en congé, la philosophie pense la négation : « je suis l'esprit qui toujours nie », répète-telle.
Car, toute détermination est négation, comme le disait Spinoza, et elle devient nécessairement négation de la négation. La dialectique n'est rien d'autre que cela : l'effort de la pensée pour saisir la vie dans toute sa complexité, dans toutes ses articulations. Elle ne pose pas des déterminations les unes à côté des autres, mais saisit leur unité. Tous les grands philosophes sont de grands dialecticiens. Voilà ce que cet essai s'efforce de montrer.
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