L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Tsigane née en France, Jeanne Gamonet a tout fait dans sa vie : elle a été avocate, a écrit des romans policiers, a travaillé pour le cinéma et la télévision. Elle a étudié un nombre invraisemblable de langues, dont le latin, le grec, le sanskrit, l'anglais, l'espagnol, l'italien, le portugais, le tadjik et, bien sûr, le rromani. Jeanne Gamonet propose ici 190 poèmes ¼ en trois de ces langues qu'elle maîtrise (il ne s'agit pas de traductions) : rromani, français, espagnol, consacrés aux Fils du Vent, les Tsiganes. Tsiganes morts sans sépulture pendant la Seconde Guerre mondiale, Gitans auxquelles Isabelle la Catholique faisait couper les oreilles en pointe parce qu'ils étaient des singes, la tragédie des Fils du Vent est bien présente dans ces poèmes. Mais il y a aussi l'amour, la passion, la sensualité, il y a la douceur d'une maison et d'un jardin, il y a le voyage, l'errance et, toujours et partout, la colère et la mélancolie.
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