"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
C'est la longue chanson de trois filles vivant en métropole, attachées à l'océan Atlantique et à la mer Méditerranée. Stéphanie, Laurence et Margherita s'entichent d'océanographie, elles observent les schémas graphiques qui modélisent l'infini, le transitoire, l'instable, le « deep ». Elles multiplient les rencontres, s'introduisent dans deux laboratoires de recherche océanographique, le Mio, le Legos. Puis, munies de leurs stylos et de leurs voix, mais dépourvues de branchies, elles dérivent et « musiquent » entre journal, science, aventure, épouvante.
Dissocier les fonds a d'abord été un oratorio, créé en 2015 sur l'invitation d'Yves Chevallier au château de La Roche-Guyon par la compagnie StationMiao, conçu avec et par Laurence Hartenstein, Stéphanie Barbarou, Margherita Trefoloni avec l'aide de Guillaume Rannou. Cet ouvrage sonore a suivi. Il s'accompagne d'une page internet qui vous permet d'écouter leurs voix et d'associer ou de dissocier les mots, les pages et les plages sonores comme ça vous chante.
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