Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
" J'aime les nuages...
Les nuages qui passent... là-bas... les merveilleux nuages ". Ce murmure baudelairien, cet appel à nos rêves de voyages vibre à jamais dans l'âme des poètes. Voyageur et poète, Léo Gantelet - rêveur éveillé - au gré des mots, au fil de l'eau, ici davantage au gré de l'eau en allant au fil des mots, nous rappelle à sa manière notre mesure d'enfant. L'enfant que nous avons tous été, avide de ces escapades vers des horizons mystérieux qui nous ramènent toujours, pour nous le faire mieux aimer, à notre village, notre maison, notre jardin...
Léo Gantelet affiche un mérite particulier - qui devrait lui valoir un particulier succès - : substituer au cadre attendu du jardin, de la maison, du village, le lac, notre lac " toujours recommencé "... Des mots nus, simples, directs, bien portés, en contrepoint aux subtiles images de son miroir - ou de son double - Stéphane Gantelet... Philippe Tomasini
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