"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au commencement était le Verbe... mais le Verbe peut tuer. Passent successivement à la trappe un mécanicien de l'Association Automobile, un motocycliste joueur de bouzouki, un élu local obsédé par l'argent des contribuables, une journaliste arriviste, un bibliothécaire furieusement érudit... Après chaque meurtre, véritable mise en scène en forme de charade, le coupable écrit un dialogue à l'intention d'un interlocuteur décédé, mais également destiné à la police, et le dépose à la gazette locale ou à la bibliothèque.
Au CID du Mid-Yorkshire, on comprend que celui que l'on appellera désormais « le Logophage » est un électron libre, apparemment intégré dans la communauté mais porté par une folie bien particulière, la folie des mots. Il y aura huit dialogues pétris de références, le dernier consistant en un retournement de situation qui laisse le lecteur pantois, Donna Leon la première : On pourrait arguer que le dénouement enfreint les règles du genre, si Hill ne prouvait depuis plusieurs décennies qu'il écrit trop bien pour devoir se soumettre aux règles .
Traduit de l'anglais par Paul Rozenberg
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !