"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'exode, la torture, la condamnation à mort, et les longues années de prison... L'horreur quotidienne de l'univers carcéral franquiste tel que l'ont vécu des milliers de femmes et leurs enfants est décrite ici avec un réalisme sans concession et sans complaisance.
Dernière femme condamnée à mort en Espagne, Juana Doña était, pour son ami l'écrivain Manuel Vasquez Montalban, la "seconde dame du communisme espagnol", après la Pasionaria. Née en 1918, à Madrid, Juana Doña entre aux Jeunesses communistes à 15 ans. Elle prend part à la défense de Madrid pendant la guerre civile avec celui qui allait devenir son mari, Eugenio Meson, fusillé par un conseil de guerre franquiste en 1942. Arrêtée et soupçonnée injustement d'un attentat contre l'Ambassade d'Argentine, elle est condamnée à mort, sans preuves, en 1947. Suite à l'intervention d'Eva Peron, de visite à Madrid, sa peine est commuée : elle est condamnée à 30 ans de réclusion. Elle restera en prison pendant près de 20 ans.
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