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De l'interruption dans l'aphorisme et l'essai

Couverture du livre « De l'interruption dans l'aphorisme et l'essai » de Vincent Metzger aux éditions L'harmattan
Résumé:

Cet ouvrage s'intéresse à ce qui fait une oeuvre Mais dans ce vaste domaine, il entre par une porte latérale. On se demande souvent comment, par où commence une oeuvre, ou bien comment et par où elle s'achève. Mais que faire des pauses, intervalles, silences, blancs, interruptions ou des arrêts... Voir plus

Cet ouvrage s'intéresse à ce qui fait une oeuvre Mais dans ce vaste domaine, il entre par une porte latérale. On se demande souvent comment, par où commence une oeuvre, ou bien comment et par où elle s'achève. Mais que faire des pauses, intervalles, silences, blancs, interruptions ou des arrêts définitifs ou provisoires ? Sont-ils étrangers, comme des arrêts de l'oeuvre, ou intérieurs, des arrêts dans l'oeuvre ? Il faut d'abord interroger ceux qui ont pour règle ou pour habitude de s'arrêter vite, ceux qui, dit Georges Perros, écrivent court ; ceux-là bien souvent interrompent un texte qui se serait volontiers poursuivi sans annoncer de fin. Avec ceux qui, au contraire, écrivent long, tout se passe comme si les textes étaient souvent sur le point de s'interrompre, et que l'arrêt se trouvait reporté. Sont ainsi présentés des auteurs qui ont écrit, notamment, des notes, des fragments ou des aphorismes, Perros, Cioran, Reverdy, puis trois auteurs d'essais, Malraux, Bataille, Aragon.

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