L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
L'autobiographie est le genre littéraire le plus répandu. Il est ici traité de manière originale. Denise Pop l'écrit comme un roman, à la troisième personne, avec actions et dialogues, durant les deux premières parties (Fleurs de glace et Traces d'étoile), puis elle emploie le " je " pour présenter sa troisième partie (Hasard et finalité). Il s'agit là d'une réflexion très profonde sur le déroulement de sa vie, peu banale, eu égard aux milieux divers dans lesquels elle évolua. Elle vécut intensément les tragiques événements du XXe siècle : la IIe Guerre mondiale, dans le nord de la France durant son enfance et son adolescence ; l'après-guerre à Paris où elle débuta une " vie d'artiste ", de 1948 à 1955 ; les agitations de l'OAS, en 1960-62 ; la révolte des étudiants de Mai 1968 ; et enfin, après une solide et longue formation, elle devint ethnologue et créa, à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, un enseignement d'ethnologie et sémiologie du vêtement, qu'elle assura, en qualité de maître de conférence, jusqu'à sa retraite, en 1996. Sa plume est alerte, pleine de poésie, de tendresse et d'humour. Son style est simple, spontané et vrai. De l'authenticité à l'état pur. Ce livre intéressera autant les lecteurs féminins que masculins.
Docteur ès-lettres, Denise Pop fut enseignante et chercheur à l'école des hautes études en sciences sociales de Paris. Son violon d'Ingres : la peinture.
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