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Correspondance alexandre vialatte-henri pourrat - t03 - correspondance alexandre vialatte-henri pour

Couverture du livre « Correspondance alexandre vialatte-henri pourrat - t03 - correspondance alexandre vialatte-henri pour » de Alexandre Vialatte aux éditions Pu De Clermont Ferrand
Résumé:

Troisième volume de la Correspondance Alexandre Vialatte - Henri Pourrat, ces Lettres de Rhénanie II (juin 1924-décembre 1927) révèlent la deuxième partie de l'itinéraire allemand du jeune Vialatte : la période du service militaire, qu'il commence à Paris et termine comme traducteur à Berlin... Voir plus

Troisième volume de la Correspondance Alexandre Vialatte - Henri Pourrat, ces Lettres de Rhénanie II (juin 1924-décembre 1927) révèlent la deuxième partie de l'itinéraire allemand du jeune Vialatte : la période du service militaire, qu'il commence à Paris et termine comme traducteur à Berlin avant de retrouver, à Mayence, son poste de rédacteur à La revue rhénane. Pour les deux épistoliers, la période 1924-1927 est très féconde. Seules nous sont parvenues les lettres envoyées par Vialatte. Elles demeurent, comme celles de deux volumes précédents, un espace consacré à l'expression intime où apparaît le lien vital qui unit le jeune homme à sa patrie ambertoise. Elles font cependant une place moins grande aux confidences : la correspondance littéraire l'emporte sur la correspondance personnelle. Les lettres de Pourrat commentent l'activité intense d'un écrivain désormais reconnu. Mais les lettres constituent surtout un témoignage inédit sur l'entrée de Vialatte dans la vie littéraire. Il publie de nombreux articles dans différentes revues et journaux. Il entreprend sa première traduction littéraire : Tambours dans la nuit de Bertolt Brecht. Il reprend en le modifiant et en l'enrichissant un projet formé dès son arrivée en Rhénanie : publier un ensemble de textes courts qui disent les maux d'une " Allemagne névrosée ". Il enrichit son "roman rhénan", qu'il ne publiera pas de son vivant, mais qui fera l'objet d'une publication posthume (La Complainte des enfants frivoles, 1999). Certains documents inédits éclairent cette entreprise romanesque à une époque où se précisent et s'affermissent les fondements de l'esthétique du jeune écrivain.

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