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La figure de la sorcière maléfique qui apparaît en Europe occidentale à l'aube de la Renaissance est une construction intellectuelle, une « sorcière de papier?», forgée par des clercs et des laïcs, et dont furent victimes des milliers de femmes entre le XVe et le XVIIIe siècle.
Objet biologique fantasmé, créature hybride entre l'homme et la bête, « trône de Satan », miroir et bouc émissaire d'une société en mutation, le corps de la sorcière incarne le mal qui semble s'abattre sur les Temps modernes et qu'il faut éradiquer.
Du XVe au XVIIe siècle, les peintres, les graveurs et les écrivains se sont emparés de ce corps, à la fois fascinant et malfaisant, affichant souvent une hardiesse artistique inouïe. Cependant, consciemment ou inconsciemment, ils ont contribué à propager et à ancrer durablement l'image maléfique de la sorcière et de la femme.
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