"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
On pensait que cela n'arrivait que dans les films américains et que le Nouveau Monde avait l'apanage de ces adolescents saturés de violence, d'abandon et de hamburgers.
Et si, sur notre vieux continent, les enfants se mettaient aussi à jouer avec de vraies armes et qu'ils se prenaient au jeu de la guerre et de la terreur pour simplement s'amuser ?
Un matin de juin comme les autres, dans une petite école primaire, Kevin Pinson, 12 ans, tue son institutrice d'une balle dans le coeur et prend les élèves de sa classe en otage.
Dehors, policiers et psychologues tentent d'empêcher le massacre et de comprendre comment la situation a pu dégénérer à ce point. Pourquoi la société a-t-elle pu créer ces enfants sans conscience, sans repères, obnubilés par la télévision et livrés à eux-mêmes ?
Dans la classe, les élèves se dévoilent, se racontent. Ils semblent ne pas s'étonner de l'horreur de la situation. Ils entrent peu à peu dans un jeu macabre où sortir libre est ressenti comme une honte et où chaque otage relâché devient le perdant.
Livre très simple à lire, mais horrible d'imagination...
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