Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Un vrai bonheur de lire lentement parce qu'elles sont ardues ces cinq méditations philosophiques sur la beauté.
Le propos nous éclaire sur un concept qui souvent nous interroge,celui de la beauté ,dans ses facettes multiples , à travers la nature,l'art, l'être .François Cheng illustre sa pensée en s'appuyant sur des exemples pris dans la culture occidentale et dans la culture chinoise, en croisant les regards ,et cette approche rend le texte plus accessible au lecteur.L'auteur s'interroge: la beauté objective existe-t-elle ?Le fil conducteur est que la beauté implique un entrecroisement entre une présence qui s'offre à la vue et un regard qui la capte.
Dans la première méditation,l'auteur développe les liens entre beauté et mal qui sont tous deux un mystère.
Dans la deuxième méditation,recherche de critères qui définissent la beauté de la nature,puis dans la méditation suivante,il déroule comment l'art a célébré depuis l'Antiquité la beauté physique.
Dans la dernière méditation, François Cheng interroge la beauté dans l'art.Le beau est quelque chose que l'on éprouve, que l'on ne peut pas prouver.Il s'attarde sur le génie de Cézanne.
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