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Dans Ceux de ma rue, Ondjaki poursuit le travail autobiographique entrepris dans son roman Bonjour camarades. Le livre raconte la vie d'un jeune garçon nommé Ndalu dans la capitale angolaise des années 80. Dans une langue débridée, rafraîchissante et sucrée, il nous raconte ici quelques épisodes, tour à tour cocasses et attendrissants, de son enfance qui s'éloigne. L'enfance, ce sont ces mangues trop vertes mangées en cachette, avec du sel chapardé. Ce sont ces ouvriers russes et ces professeurs cubains, venus aider un pays frère. L'enfance, c'est la piscine remplie de coca de l'oncle Victor. L'enfance qui s'éloigne, c'est les filles qu'on sert plus fort qu'avant pendant les slows, des mots d'amour qu'on écrit comme on peut. C'est ce mélange mal défini d'excitation, de malaise et de mélancolie, parce que les corps changent et que les regards ne sont plus les mêmes. C'est aussi la chambre qu'on va quitter, comme sa famille et les copains du quartier, parce qu'une autre vie ne demande qu'à démarrer, loin de Luanda, sous d'autres latitudes.
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