Des romans, livres de recettes et BD pour se régaler en famille !
Des lingots d'or sommeillent depuis des années sous l'ancienne villa de Pablo Escobar à Miami Beach. Gangs et malfrats se battent pour mettre la main dessus.
Aujourd'hui, c'est au tour du maléfique Hans-Peter Schneider de tenter sa chance. Mais c'était sans prévoir la présence de la sublime Cari Mora, qui veille sur les lieux. En matière de violence et d'armes à feu, personne n'a rien à lui apprendre.
Entre désirs et instinct de survie, avidité et obsessions macabres, le mal se faufile à chaque page. Aucun auteur de ces dernières décennies n'aura autant exploré les démons. Thomas Harris, au talent terrifiant, revient ici avec un sixième roman événement. APRÈS DOUZE ANS D'ABSENCE, CARI MORA SIGNE LE RETOUR D'UN MAÎTRE ABSOLU DU THRILLER.
Je lis beaucoup de critiques négatives sur ce livre… il est vrai que ce n’est pas un chef-d’œuvre mais j’ai trouvé sa lecture agréable. L’idée est originale, le style enlevé, un bon roman pour l’été.
Après le succès phénoménal du « Silence des agneaux » brillamment porté à l’écran, Cari Mora est malheureusement sans surprise.
L’histoire de deux mafieux à la recherche du trésor de Pablo Escobar avec au milieu une jeune Colombienne, ancienne combattante, n’a pas de profondeur, il n’y a pas d’action, on s’ennuie, c’est fade, on n’entre pas dans l’histoire on la subit. Les personnages ne nous accrochent pas.
Une belle déception, peut-être attend on trop de Thomas Harris qui aura du mal à surpasser l’emballement littéraire de son best- seller passé. Comme quoi il n’est pas toujours facile de rebondir après un tel succès, les lecteurs deviennent exigeants.
Un obscur trésor laissé par Pablo escobar dans une villa à Miami est protégé par une jeune femme au passé sordide. Un psychopathe, des gangs, des malfrats.... tous cherchent à le posséder . Autant d'éléments qui auraient pu donner une intrigue intéressante mais hélas ce roman court survole ses personnages. Cari Mora aurait pu être un formidable personnage complexe et attachant et Schneider un psychopathe digne de ce nom, mais le roman au bout d'une vingtaine de pages s'essouffle. Il ne propose que des bouts de pistes et j'ai perdu à un moment tout intérêt pour cette chasse au trésor. Dommage !
Lecture terminée pour ce roman de Thomas Harris. J'avais beaucoup apprécié Hannibal et Le silence des agneaux, mais malheureusement c'est une déception pour Cari Mora
J'ai trouvé l'histoire sans queue ni tête, les personnages manquent cruellement de profondeur, ils apparaissent aussi rapidement qu'ils disparaissent et les acteurs clés de l'histoire sont tout simplement survolés. A mes yeux Cari Mora n'est pas un thriller, le suspens n'est pas présent, l'angoisse encore moins, bref je n'ai pas du tout été emballée malgré une quatrième de couverture prometteuse. L'auteur nous aura habitué à beaucoup mieux, quel dommage !
Le nom de Thomas Harris est bien connu pour les amateurs de thrillers et dit même quelque chose au plus néophyte. Pourquoi? Tout simplement parce qu’il est le créateur d’un personnage qui a glacé le sang de nombreux lecteurs mais aussi amateurs de cinéma. Mais de qui? De Hannibal Lecter voyons! Et oui, Thomas Harris est à l’origine de la tétralogie consacrée à ce terrible serial-killer. Le second volume, « Le silence des agneaux » a connu un succès retentissant en librairies étant vendu à des millions d’exemplaires ainsi qu’au cinéma, dont le jeu d’acteur d’Anthony Hopkins est magistral.
Après 12 ans d’absence, il revient à son métier d’écrivain avec ce thriller « Cari Mora ». Si vous aviez aimé l’atmosphère entourant Hannibal Lecter, oubliez tout car on en est à des millers d’années-lumières. Je pense que ce choix de revirement a décontenancé plus d’un lecteur. Même si je ne lis pas les chroniques de mes amis blogueurs littéraires avant la lecture d’un livre pour ne pas en être influencée d’une quelconque façon, j’ai vu passer certains avis pas vraiment positifs à l’égard de cet ouvrage. Quoi qu’il en soit je m’y suis plongée et…. Et bien, pour ma part, je n’ai pas forcément été très déçue, seulement un petit chouia on va dire!
Ce livre avalé en moins de deux jours durant mes congés, j’ai apprécié cette histoire de quête d’un trésor enfoui par Pablo Escobar dans sa villa de Miami et qui est recherché par des gens pas très respectables. C’est vrai qu’on est dans un milieu et une ambiance antagonistes à ceux du « Silence des agneaux » mais cela ne m’a pas déplu pour autant.
J’ai trouvé ce livre peut-être un peu court par rapport aux talents d’écrivain de Thomas Harras et de ce qu’il m’avait habituée avec Hannibal Lecter mais j’ai trouvé son héroïne, la bien-nommée Cari Mora, assez efficace. Certains aspects auraient pu être plus fouillés et certains autres peut-être un peu moins caricaturaux. Ce livre manque d’un petit plus, d’un ce dont je-ne-sais-quoi, dont je pense que certains lecteurs tiennent rigueur à Thomas Harris par ce qu’il nous avait habitué. Mais ce livre se lit bien et est divertissant.
Néanmoins, un point très positif est qu’il se déroule à Miami Beach. Pour m’y être déjà rendue, j’ai adoré cette ville. La retrouver donc dans une de mes lectures, qui plus est durant mes vacances, m’a distillée une certaine nostalgie positive.
En lice pour le Prix des Lecteurs 2020 des éditions Le Livre de Poche, sélection du mois d’août.
L'idée de départ est séduisante : combiner une chasse au trésor ( une montagne de lingots d'or laissée par Pablo Escobar dans une de ses villas de Miami ) pour laquelle plusieurs clans s'affrontent, aux agissements d'un serial killer terrifiant, sous le regard d'une super héroïne, la badass Cari Mora chargée de superviser ladite villa.
Mais rien ne prend. L'intrigue type thriller est tout bonnement illisible, noyée sous une multitude de personnages mal caractérisés, mal introduits, au point que se pose régulièrement la question de savoir à quel camp appartient chacun, même sur la fin. le personnage du « méchant » aurait dû être terrifiant à la Hannibal Lecter, il est juste caricatural et grotesque. Les épisodes « gore » qui s'y rattachent sont gratuits et n'apportent rien à l'avancée du roman. A se demander pourquoi cette pâle imitation du fameux Hannibal … même s'il ne déguste pas de foie accompagné de fèves au beurre et de chianti, celui-là.
En fait, le seul point fort de ce roman médiocre, c'est le personnage de Cari Mora, la gardienne guerrière de la villa aux cicatrices plein les bras , ou plutôt les quelques passages flashback qui raconte son passé chez les FARC comme enfant-soldat puis son évasion. C'était peut-être ça le roman à écrire plutôt que ces pages qui sentent le réchauffé et le bâclé.
Bref, grosse déception, d'autant plus forte que Thomas Harris n'avait rien publié depuis treize ans. On est à des années-lumière du Silence des agneaux, malheureusement.
Lu dans le cadre du jury Prix des Lecteurs Livre de poche catégorie polar 2020
Le cadre : l’ancienne villa de Pablo Escobar à Miami Beach. Les protagonistes : Cari Mora, la gardienne de la maison, mais aussi une ancienne enfant traumatisée par la guerre car recrutée de force par les FARC ; Hans-Peter Schneider, un paraguayen d’origine germanique très sadique, très violent et atteint d’une anomalie génétique qui le prive de pilosité et le rend encore plus effrayant ; à quoi on ajoute un agent immobilier véreux, un ancien narcotrafiquant du cartel de Medellín, un nettoyeur de piscine, le gang des dix cloches, sans oublier un crocodile et quelques oiseaux. L’objectif : un tas d’or planqué dans un coffre piégé au Semtex caché sous la villa de l’ancien roi de la cocaïne. En bref, un bien alléchant cocktail, auquel il faut ajouter l’auteur : le célèbre Thomas Harris, le père d’Hannibal Lecter dont on avait pas lu une ligne depuis douze ans !
Après ma lecture, une pointe de déception domine toutefois. Même si j’ai pris plaisir à retrouver la patte de M. Harris, avec les particularités savantes dont il orne ses protagonistes, particulièrement savoureuses chez ses vilains, comme ici par exemple la ritournelle allemande « Kraut und rüben haben mich vertrieben » que Hans-Peter Schneider chantonne lorsque sa perverse excitation naît, ou son art de la gastronomie (les escargots qui sont en fait des rats !), l’on ne retrouve pas l’ampleur de ses plus grands thrillers que sont « Le Silence des agneaux » et « Dragon Rouge ». Même si son héroïne a un tempérament certain, et une histoire tragique qui fait qu’on s’attache à elle, les autres personnages restent trop rapidement esquissés, et l’intrigue ne vaut que par les multiples trahisons qui s’enchaînent, et qui font que l’on ne sait pas qui va réussir à s’emparer de l’or le premier, mais cela reste assez faible pour le côté « suspens » qui aurait demandé d’être plus travaillé.
Reste le style, à mon avis impeccable, efficace et qui permet une bonne tenue de l’ensemble, et les agréables moments de descriptions de la nature, et des animaux, volatiles ou reptiles, dont on a l’impression que M. Harris a pris autant de plaisir à décrire qu’il l’a fait pour ses personnages humains. Appréciable aussi le fait de n’avoir pas tiré à la ligne. Le roman se limite à trois cents pages, et ce court format sied bien à cette mince intrigue, dont l’intérêt réside au final dans la belle opposition entre Cari et Hans-Peter, plus que dans la course effrénée aux lingots de Pablo.
Quand deux bandes rivales s’affrontent dans une maison aux allures de musée de cinéma, laquelle des deux s’en sortira enrichie d’un pactole de 30 millions de dollars ?
S’inspirant de faits réels, Thomas HARRIS orchestre un final magistral avec un tête-à-tête entre Cari Mora, la gardienne des lieux, et Hans-Peter Schneider, tueur en série.
Un livre court qui change des classiques du célèbre auteur.
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Dernière réaction par Yannis Fardeau il y a 7 minutes
Dernière réaction par Jean-Thomas ARA il y a 3 jours
Dernière réaction par RC de la Cluzze il y a 8 jours
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