"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au 1er, siècle av.
J. -c. , les prêts et emprunts des sénateurs (à commencer par ceux de césar et crassus) ont défrayé la chronique, et même provoqué des crises politiques. a la même époque, les fermiers de l'etat, les fameux publicains, maniaient des sommes énormes et exploitaient les provinces de l'empire. si ces phénomènes spectaculaires ont été souvent étudiés, aucun livre avant celui-ci n'a présenté une vue synthétique de l'ensemble de la vie bancaire et financière romaine, depuis l'apparition des premières boutiques de banquiers sur le forum (entre 318 et 310 av.
J. -c. ) jusqu'à la fin du haut-empire. jean andreau y traite à la fois des affaires de l'élite, de celles des argentarii (banquiers professionnels travaillant dans les ventes aux enchères) et de l'action de l'etat. jusqu'à quel point l'esprit de lucre et l'esprit d'entreprise triomphaient-ils en dépit des valeurs traditionnelles de la cité romaine ? et quel était le rôle économique de ces financiers ? comment le comparer à celui que jouaient leurs confrères de la fin du moyen age et du début des temps modernes ?.
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