L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Quand Michel Onfray a commencé à écrire des haïkus, il ne savait pas qu'il inaugurait un genre de journal intime qui saisirait les derniers mois de vie de sa compagne, le deuil qui a suivi sa disparition après un cancer de treize années incluses dans trente-sept années de vie commune, et la vie qu'il faut vivre ensuite.
Ce journal de peine et de chagrin, de tristesse et de mélancolie, est aussi un journal de présence au monde. En voici la troisième année. On y trouve des couleurs et des parfums, des sensations et des émotions, des souvenirs et des perceptions consignés ici ou là, dans son village natal, dans la ville normande qu'il habite désormais, ou n'importe où ailleurs sur la planète.
Le haïku nous écrit bien plus que nous ne l'écrivons. Il nous oblige à être aux aguets de l'infime. Il nous apprend aussi que l'infime nous guette.
Ou que l'absence est une présence.
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