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Au début, c'était juste un bleu

Couverture du livre « Au début, c'était juste un bleu » de Anne Peignelin aux éditions City
  • Date de parution :
  • Editeur : City
  • EAN : 9782824640136
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

À 90 ans, Lucette ne peut plus rester seule chez elle. Alors ses enfants, Anne et François, trouvent pour elle le meilleur des endroits : une jolie chambre dans un EHPAD charmant. Tout est fait pour les persuader que leur maman y sera bien. Mais rapidement, Lucette change, maigrit et se... Voir plus

À 90 ans, Lucette ne peut plus rester seule chez elle. Alors ses enfants, Anne et François, trouvent pour elle le meilleur des endroits : une jolie chambre dans un EHPAD charmant. Tout est fait pour les persuader que leur maman y sera bien. Mais rapidement, Lucette change, maigrit et se renferme sur elle-même. Et quand la famille cherche à comprendre, on leur répond toujours de ne pas s'inquiéter. Même lorsque des bleus apparaissent sur son corps, puisque, selon les responsables de l'EHPAD, c'est juste que « oh, vous savez, les personnes âgées, ça marque vite... ». Inlassablement, ils affirment que « tout va bien ». Jusqu'au décès brutal de Lucette. Anne portera plainte contre Orpea pour homicide involontaire juste avant que le scandale n'éclate. Dans ce livre hommage à Lulu, elle raconte l'impensable et dénonce la prise en charge des personnes âgées. Un témoignage dur mais essentiel, le cri d'amour d'une fille pour sa mère.

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Avis (1)

  • Un témoignage révoltant !

    À travers son récit, Anne Peignelin dénonce les violences qu’à subit sa mère.
    Elle met en avant le caractère déshumanisant de certains établissements pour personnes âgées.
    Comme si à partir d’un certain âge, nous ne serions plus qu’une ligne dans un tableau.
    Un...
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    Un témoignage révoltant !

    À travers son récit, Anne Peignelin dénonce les violences qu’à subit sa mère.
    Elle met en avant le caractère déshumanisant de certains établissements pour personnes âgées.
    Comme si à partir d’un certain âge, nous ne serions plus qu’une ligne dans un tableau.
    Un constat terriblement triste et affligeant.

    À côté de tout ça, on sent tout l’amour que cette femme, fille porte à sa mère.
    J’imagine que la fin de vie qu’à eu sa mère est un poids qui doit peser bien lourd sur ses épaules.
    Mais comment aurait-on pu imaginer ce qui se passait, quand chacune des personnes à qui elle demandait répondait “tout va bien”.

    Pendant toute cette lecture, j’avais une pensée pour mes grands-parents.
    Qui aujourd’hui ont la chance de pouvoir encore vivre chez eux.
    Mais on ne sait pas ce que réserve l’avenir.
    Ça me rend malade qu’il y ait des établissements comme ça…

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