L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La première partie du texte fait bruire les ébats de Léda et du cygne ( signe ) et fait surgir de petites fantaisies , baroquement érotiques . La seconde est le récit du petit chaperon rouge allant rencontrer le loup . L'écriture d'« Anellemâlités » fait de l'auteur et du lecteur à la fois : Elle et Lui , les plumes et le bec ( du signe ), les crocs et « la peau de beurre » du Chaperon rouge ( le pot sera cassé par le mâle loup ). Le blanc et le rouge se mêlent , comme dans le prénom Caroline , qui est celui de l'écriture carolingienne au IX° siècle . L'humour et le sexe mêlés , avec la langue des pourparlers nocturnes , et des ébats de plumards à pas de loups , froissent ces pages , comme un lit ( en argot , un page désigne un lit ).
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