Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Au croisement de routes inattendues, sur les pistes marocaines ou au fond d'un port atlantique, ce livre dit la beauté de la rencontre. Et la force de son corollaire, la perte. Car l'absence est un fil rouge dans ces textes entre intimité et grand dehors. Celle des proches envolés trop tôt, celle de l'écrivain si souvent en voyage, qui fait rimer Bretagne et infinie complexité du monde.
Dans une langue neuve, l'engagement à fleur de peau se fait tendre et mélancolique. La nostalgie pointe, la dérision aussi. Le cynisme n'a pas cours. Dans sa préface, l'écrivain et traducteur François Maspero l'admet : « Un des dons de Caroline est de n'avoir jamais oublié son enfance (.), l'enfance de l'étonnement devant ce qu'est la réalité du monde, un étonnement qui peut passer très vite, dès la première jeunesse, à l'indignation et à la révolte. »
évocation par touches de l'enfance (au Maroc) et du parcours de l'adulte qui s'installe en Bretagne et manifeste l'art de créer les relations. Un chapitre hommage magnifique sur François Maspéro qui a eu le temps d'écrire la préface avant de disparaître avant la parution du livre . L'absence injustifiée c'est celle surtout de la mère, disparue alors que la narratrice n'a que 3ans . Un récit émouvant et pourtant gai et tout en (auto)dérision. Une vie riche de rencontres et de générosité. Un style entre douceur et énergie . Lecture à ne pas manquer
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