"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dès mon jeune âge j'ai senti que Nohant échappait à toute banalité touristique. Qu'il s'y était passé des choses hors du commun ; que des gens étonnants, des artistes de génie y avaient vécu auprès d'une femme fantastique, et qu'il restait là un peu de leur âme. En écrivant cet ouvrage, je me suis vraiment reconnu dans l'humble témoin de l'existence de la Grande George, chez elle : dans son village. Ce p'tit gars, n'en doutez pas : c'est moi ! C'est comme lui, j'en suis sûr, que j'aurais aimé la Dame : du même amour sans espoir, à la fois exclusif et jaloux, fait de respect, d'admiration et de compassion. Cette identification entre Jean-Louis Boncoeur, célébrant la Lélia des champs, et le timide petit valet qui vécut dans son nombre n'est-il qu'un banal procédé d'auteur ? Il appartiendra au lecteur d'en juger. Peut-être seuls ceux qui aiment George Sand et qui me connaissent bien accorderont-ils foi à ma sincérité.
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