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Ce troisième et dernier tome de la série 46934 Le paradoxe des étaux consacre la libération de Jean-Martial de tous les étaux lui ayant été posé jusqu'à la dernière minute par l'administration et ses divers détracteurs.Par ailleurs, les naissances de Daphné, dont un cadavre est apparu à la fin du deuxième tome.
Il aura encore fallu un an à Jean-Michel pour écrire ce troisième tome qui clôt la série « 46934 le paradoxe des étaux » en vous donnant rendez-vous pour une nouvelle série dont vous trouverez les prémices dedans.
En 3 ans, Jean-Michel a écrit un extrait d'une trentaine d'années de la vie de la famille de BRISE réparti sur des portions de vie de deux mois avec « Mise en bouche », et deux fois une année dans « Julie » et « Dérisoires ». Vous trouverez ci-après des extraits réalisés en cours d'écriture du roman.
Bonne lecture à vous.
« Moins d'un mois plus tard vers la même heure, une R5 jaune canari remonta l'avenue de Breteuil à vive allure et tourna brusquement rue Bossuet pour s'arrêter doucement approximativement devant le n°16. Le conducteur sans avoir coupé le contact de la voiture en sortit tranquillement avec un panier en osier qu'il déposa sur le trottoir coté passager. » (Extrait en cours d'écriture) « Vu la non-considération et l'ignorance que la grande majorité accorde aux êtres devenus, indûment ou pas, dépourvus de tout, il est possible de se demander jusqu'où peut tomber la côte de la vie humaine. Surtout pour une personne de chair mais non-vegan qui peut encore valoir, peut-être, quelque chose. » (Extrait en cours d'écriture) « Qu'est-ce qu'il y a, tu t'es fait virer? » lui dit-elle d'un air rieur.
« Non, je me suis viré tout seul. Je vais écrire. Je n'ai pas de temps à perdre avec les marchands d'aumône qu'il y avait ! » répond-il en se dirigeant vers l'arrière boutique déposer la table et son panier en osier.
(Extrait en cours d'écriture) « Les petits cris brefs et stridents s'intensifiaient comme le léger mouvement du panier au fur et à mesure que je m'en approchai. Le panier était recouvert d'une très mince épaisseur de neige. C'est pour cela que je pense, comme je vous l'ai déjà dit qu'il avait été déposé par la Renault 5 rouge qui a failli m'emboutir à la sortie de l'allée menant au château. » avait déclaré Alain Wilson à la journaliste du Canard de l'Yvette quelques années plus tard.
(Extrait en cours d'écriture)
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