Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
L'auteur fait revivre la première guerre mondiale de bout en bout à travers des expressions aussi colorées que pittoresques et qui constituaient le langage ordinaire des populations en guerre : gloire à notre 75 ! moi couper cabèche ! notre joffre ! v'là les casques à pointe! kamerad pas kaput ! welcome les sammies ! le père la victoire! la der des der ! etc.
Ce langage vigoureux, plein de verve et d'humour, a trouvé sa traduction imagée dans la carte postale, qui devint le principal vecteur d'information entre le front et l'arrière. tous les aspects du conflit se trouvent décrits : les troupes en marche, la vie dans les tranchées, les exactions allemandes, les prisonniers de guerre, les hôpitaux et, bien sûr, la marche vers la victoire en 1918. si elle a servi l'histoire, la carte postale a aussi contribué à écrire la légende de la guerre, car elle fut un instrument de propagande ou, comme l'on disait à l'époque, de bourrage de crâne.
Pourtant, les français étaient-ils vraiment dupes de ces caricatures, de ces cartes " anti-boches ", de ces exagérations patriotiques ?
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