Jo Beverley

Jo Beverley est nÃ©e en Angleterre. PassionnÃ©e pas l'histoire, elle se lance dans l'Ã©criture de romances historiques. Aujourd'hui reconnue dans le monde entier, elle a reÃ§u de nombreuses rÃ©compenses, notamment cinq RITA Awards de la sociÃ©tÃ© des Romance Writers of America. Elle fait d'ailleu... Voir plus

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Couverture du livre « Les Malloren Tome 2 : Lady Portia » de Jo Beverley aux éditions J'ai Lu

Spitfire89 sur Les Malloren Tome 2 : Lady Portia de Jo Beverley

On retrouve un nouveau membre des Malloren, j'avais adoré le premier opus mais celui-ci m'a frustré, je ne me suis pas attaché lady Portia mais Bryght est intéressant . La romance m'a un peu ennuyé tout comme le suspense et les rebondissements.

"C’était sûrement cette lumière spectrale, songea Portia St. Claire, qui donnait à l’intrus des airs de Prince des Ténèbres. Ses traits pâles, ciselés par le clair de lune, semblaient d’une beauté surnaturelle. Portia eut même l’étrange impression qu’il avait des ailes noires dans le dos…
Elle brandit son lourd pistolet vers la poitrine de la créature.
— Pas un geste !
La haute silhouette leva ses mains aux doigts longs et élégants au niveau de son visage. Ce mouvement révéla à Portia que les ailes qu’elle avait cru voir dans son dos n’étaient que les pans d’une longue cape sombre.
La jeune femme soupira. Elle avait affaire à un vulgaire cambrioleur."

Couverture du livre « Les Malloren : les malloren - t01 - les malloren -1- lady chastity » de Jo Beverley aux éditions J'ai Lu

Spitfire89 sur Les Malloren : les malloren - t01 - les malloren -1- lady chastity de Jo Beverley

Je découvre avec cette saga les Malloren la plume de Jo Beverley, la plume est fluide on retrouve des personnages attachants, de très bonne joute, de la romance, de la sensualité, de l'action, du suspense et de l'humour. On passe un bon moment a voir si le prochain tome confirme cette première impression.

"Cette coiffure était l’œuvre de son valet de chambre, un homme d’âge mûr assis avec raideur à côté de lui, un coffret à bijoux sur les genoux.
La voiture oscilla en grinçant. Lord Cynric Malloren soupira et décida de louer un cheval à la prochaine étape. Il ne supportait plus d’être confiné dans cet habitacle exigu.
Être invalide était mortellement ennuyeux.
Il avait réussi à convaincre son frère, le marquis de Rothgar, qu’il était en état de voyager. Ce dernier n’avait cependant toléré qu’un voyage de deux jours dans le Dorset afin de rendre visite à leur sœur aînée qui venait d’avoir un bébé. Qui plus est dans cette horrible voiture pourvue de couvertures de fourrure pour ses jambes et d’une chaufferette pour ses pieds. Il rentrait donc chez lui à une allure d’escargot, telle une grand-mère fragile."