L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Il nous fut révélé au début des années 70 par « Bananas », film comique d'un comique américain de plus. Cependant, le génie de Woody Allen allait très vite exploser à travers des oeuvres moins burlesques, de brillantes comédies plus ou moins autobiographiques et traitant avec grand humour de la vie, de l'amour et de la mort. Depuis, chaque année, on attend le « nouveau Woody Allen ». Les Européens ont appris à aimer ce New-yorkais pur jus, si proche de nous dans la dérision de son regard sur le monde d'apparences dans lequel nous vivons, des deux côtés d'un océan qui semble avoir rétréci avec le temps. Bonheur supplémentaire, Woody aime le jazz, surtout celui qui lui rappelle l'odeur troublante du 78 tours et l'extraordinaire condensé de bonheur que contenaient ses trois minutes. Django, Bechet, Armstrong, Bix, Duke, Glenn Miller et Benny Goodman, ils sont tous là, tels que les films de Woody redonnent vie à leur musique, contrepoint sans âge à des aventures d'hier et d'aujourd'hui.
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