L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La fragmentation profonde des États-Unis qui touche les différences ethniques, générationnelles et de genre, a des répercussions en France comme dans toutes les sociétés occidentales.
« Voir le pire » analyse les romans de Bret Easton Ellis à travers le prisme du principe d'altérité pour répondre à cette problématique dans une époque dominée par ce que l'écrivain américain appelle une « épidémie de supériorité morale ».
Ce qui est Autre a longtemps été considéré comme une source d'affrontement et de rejet.
Si le sens de l'histoire a permis à l'altérité de faire accepter les différences de l'alter ego (cet autre moi-même), c'est pourtant au nom de ce principe que se définit aujourd'hui un discours unique et politisé qui exclut et censure avec l'hystérie de la dénonciation publique de la Cancel culture.
Victime précoce de ce mouvement avec l'appel au boycott de son roman « American Psycho » en 1991, Bret Easton Ellis n'a eu de cesse de défendre l'altérité et la liberté d'expression à travers ses écrits.
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