L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
tu dis un mot sale josé : mourir.
au moment oú j'écris un truc qui s'appelle la peur de crever la vie. je tiens à te répéter qu'on ne meurt pas. on s'arrête de respirer. et encore ! si je n'étais sûr de ces choses, je ne t'en dirais rien. on ne les trouve pas avec les papes ou les sermons. on les trouve dans la bruit de sa respiration ; dans l'odeur de son cul. la joie de savoir. et de savoir violemment - la permission de cicatriser le néant.
mon ai josé. je me dis : on ne peut pas servir à tuer le temps. tu t'arrêtes aux idées. moi, je descends plus bas, jusqu'au corrigé de ma chair. je te tue l'idée. je vis jusqu'à moi. là-dedans, j'ai des plages-des pivin, des françoise, des tout-le-monde, 1500 m de terre dans les os. mais je ne pourris pas. c'est idiot de pourrir.
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