L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
«Nous autres, les vibrants, nous avons besoin de croire pour faire croire. Notre vraie vie, c'est là-bas, dans le foyer incandescent de toutes les passions vécues ou rêvées.» La vie de Sarah Bernhardt (1844-1923) a donné lieu à toutes les inventions. On l'a dite allemande, hongroise, algérienne, américaine, trouvée sur un banc des Tuileries ; on a fait des choux gras de son type sémite et brocardé ses origines incertaines. Star avant la lettre, contrôlant son image et sachant la monnayer, la «divine Sarah» a joué un rôle primordial dans l'histoire du théâtre en France et dans la culture de son temps. Sa devise, «Quand même», illustre bien ce que fut cette femme libre, à la volonté infatigable, élevée de son vivant au rang de trésor national. Jadis inscrite dans le «fichier des courtisanes», celle que Victor Hugo surnomma la «Voix d'or» fut durant toute sa vie fidèle à ses préceptes : haïr très peu, mépriser beaucoup, pardonner souvent, ne jamais oublier.
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