L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Pourquoi Sans protocole ? Parce que les textes lus ici - pris chez Apollinaire, Segalen, Max Jacob, Michaux - ont abandonné l'ancien jeu des vers, au profit soit du poème en prose, soit d'une superposition de codes génériques hétérogènes, soit d'une élasticité rythmique qui explore un " entre-deux entre le vers et la prose " (Péguy).
Parce qu'il s'agit de textes qui, à des degrés divers, revendiquent l'esprit, la fantaisie, l'humour, et même le comique, comme des ingrédients essentiels à la poésie. Parce que ces univers sont abordés sans suivre de système, mais selon une " lecture-écriture " qui parfois prend ses risques. Parce que le mot d'Aragon, qui faisait du poème en prose un art du " désappointement voulu ", on est tenté de l'appliquer à toute analyse critique de la poésie - laquelle pour finir destituerait le lecteur savant, ou trop soucieux de savoir, et demanderait qu'on en revienne à elle, sans protocole ?
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