L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La suite poétique "Rousseau dort tranquille" est composée dans un langage qu'on dirait volontiers proche du slam, c'est une poésie déclamatoire et pourtant très intimiste, elle masque derrière un vocabulaire ancré dans notre époque, dans notre relation quotidienne aux mots, un travail exigeant d'écriture, de perfection de la langue, d'amour du langage beau, du rythme, et se dégage de sa lecture une pensée engagée, soucieuse de l'autre et une pensée plus soucieuse de l'intime. Dans un texte adressé aux jeunes poètes, Jean-Luc Despax écrivait : "Les bons sentiments ne font pas des bons poèmes, les mauvais non plus. Mais il faut des sentiments." Les dessins de Denis Pouppeville sont dans le registre des poèmes : ils semblent voyeurs, mais chaque dessin dissimule un écart de regard vers quelque chose d'invisible.
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