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De la pagode chinoise construite par l'architecte britannique William Chambers dans les jardins de Kew en Angleterre aux palais baroques européens conçus par le peintre et missionnaire jésuite Giuseppe Castiglione pour le jardin impérial Yuanmingyuan (jardin de la Clarté parfaite) à Pékin, l'histoire moderne des relations sino-européennes a montré que l'Europe et la Chine n'ont cessé de se tendre le miroir au cours des XVIIe et XVIIIe siècles.
La Chine au miroir de l'Europe, l'Europe au miroir de la Chine : cet ouvrage explore le sens multiple de l'entrelacs des regards entre ces deux contrées, et propose de faire le récit d'une fascination mutuelle, en expliquant les modalités culturelles spécifiques du regard porté sur l'Autre.
Si l'Europe se passionna pour la civilisation chinoise, la présence des missionnaires jésuites installés à la cour impériale témoigne de l'intérêt de la Chine pour l'Europe, son art et ses sciences. L'extrême mobilité de ces échanges conduisit à un phénomène d'acclimatation et d'adaptation de l'image de l'Autre.
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