L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Quercus est le mot latin pour désigner le chêne; l'auteur, qui dit avoir vécu, enfant, entouré, de chênes, se lance ici, après Virgile et accompagné de Gianni Burattoni et de ses dessins, dans une série de bucoliques. C'est un chant de vie exalté, une déclaration de panthéisme athée assez rare dans la poésie contemporaine. Le séminaire des nuits est une plongée dans le monde fantasmatique de la nuit, avec ses frayeurs enfantines et ses dérives adultes, sa mélancolie et la solitude. Le côté varoque, la tonalité et la maîtrise de cette poésie sont les marques de cet auteur.
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